amoniac

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Tout ce qui a été posté par amoniac

  1. Merci JairF ! Le 24 août 2014, à Miami, FLORIDA, USA Ce matin, après une bonne douche, direction Coral Gables pour acheter une carte SIM et avoir un numéro US, mais surtout pour profiter d’une connexion Internet. Ensuite, avec Alice, on part faire un peu de jogging. On court et on marche sur un peu plus de 7 km, du David T. Kennedy Park jusqu’au CocoWalk. Ça fait du bien. La chaleur est au rendez-vous : 90°F (soit 32°C) dès 11h30. Après l’effort, on s’arrête près d'une camionnette pour acheter une limonade bien fraîche. C’est vraiment excellent et rafraîchissant. Ensuite, je rencontre le frère et la belle-sœur d’Alice chez ses parents (leur gros pickup F250 est garé devant), puis nous partons déjeuner dans un restaurant cubain appelé La Carreta. Alice me recommande un plat typique avec du riz, une belle tranche de bœuf et de la banane cuite. Elle me fait aussi goûter un sandwich Midnight. Tout est vraiment délicieux ! Je teste aussi un espresso cubain pour la première fois. Rien à voir avec le café italien (que j'aime également beaucoup) : il est plus sucré, plus doux, et passe vraiment bien ! Dans l’après-midi, nous nous dirigeons vers Bayside Marketplace, une zone commerciale au bord de l’océan Atlantique. L’endroit est animé, avec de nombreuses boutiques et des compagnies qui proposent des tours en bateau. On hésite un moment, mais on décide finalement de ne pas en faire, du moins pas cette fois. J’en profite pour prendre plein de photos. Un peu plus tard, je demande à Alice de me montrer le Miami-Dade Police Department, celui qu’on voit dans la série Les Experts : Miami. Elle me prévient que ce n’est pas très impressionnant. Curieux, je vérifie sur Internet… et découvre que la série est en réalité tournée majoritairement en Californie ! Un peu déçu, on va quand même voir le bâtiment, qui n’a effectivement rien à voir avec celui de la série. Le soir, on décide d’aller dans un pub. Il y a très peu de monde, voire personne… Alors, on part se balader et on tombe sur un centre commercial à ciel ouvert. L’endroit est magnifique. On entre dans une salle d’arcade avec des machines de toutes les époques. On commence par un jeu de palet, puis un jeu de basket, un autre où il faut bouger les pieds en rythme, et enfin un Pac-Man. Après ça, on retourne au pub pour boire une bière. J'apprécie vraiment les bières américaines (quoi que certains en disent...). On finit par rentrer, un peu épuisés. Le drapeau américain est partout ! Mon plat composé de riz, d'une grosse tranche de bœuf et de banane cuite Une belle Chevrolet au premier plan, les feux d'une Mustang plus loin, derrière le parcmètre. Une Crown Victoria de la police de Miami Encore ce drapeau La baie, très photogénique en fin de journée La baie et le drapeau... Les immeubles au bord de de l'eau Un gratte ciel Encore une Crown Victoria ! La même vue de dos (j'aime beaucoup cette photo malgré sa qualité... discutable) Le centre commercial à ciel ouvert Star Wars !!
  2. Le 23 août 2014, à Miami, FLORIDA, USA Alice, chez qui je vais loger, vient me chercher à l’aéroport. Sans perdre de temps, elle me propose un premier aperçu de la ville de nuit avant de rentrer chez elle. Miami est une ville fascinante, résolument américaine et sans aucun point commun avec les villes européennes. Des palmiers bordent les routes, les feux tricolores semblent diffuser une lumière plus chaude qu’en France, et leur position à l’intersection – placés après la rue à traverser – me déroute un peu au début. Les voitures sont énormes. Après quelques minutes, je cesse de compter les Ford Mustang et Dodge Charger qui passent sous mes yeux, sans parler des Porsche et Ferrari omniprésentes. Une autre chose m’étonne : lorsque les moteurs s’arrêtent, un silence presque irréel envahit la ville. Et puis il y a l’air conditionné, partout, tout le temps. Pas seulement en été, mais toute l’année. De quoi rendre fous les écologistes les plus convaincus. J’arrive chez Alice et sa famille, qui m’accueillent chaleureusement dans une maison typiquement américaine. On discute en français et en anglais, mon espagnol étant trop approximatif. L’essentiel passe malgré tout. Il est déjà 4 heures du matin en France, mais Alice me propose de retourner en ville. L’occasion parfaite pour confirmer mes premières impressions. À Miami, il fait encore plus de 30°C à 23 heures. J’adore ce climat, même si certains locaux s’en plaignent. En marchant, je suis frappé par le nombre de publicités pour la chirurgie esthétique. Poitrines refaites, injections en tout genre... Ici, l’apparence semble primordiale, un constat confirmé plus tard par plusieurs Américains. Autre surprise, en pleine rue : un bouchon lyonnais. Moi qui pensais que l’idée d’importer ce concept aux États-Unis était inédite... Pour venir m'implanter à Miami, c’est raté ! Un bouchon lyonnais... à Miami ! Après notre balade, nous nous arrêtons chez Flanigan’s, un restaurant-bar typiquement américain. L’établissement est bondé. Une hôtesse nous prend en charge et propose de nous appeler dès qu’une table se libère. En attendant, nous commandons une bière. L’attente est longue, mais une fois installés, un serveur nous apporte la carte. Alice me conseille de goûter les ribs, une spécialité incontournable ici. J’hésite en voyant la portion gigantesque et préfère un "Big Daddy Burger" : steak de bœuf épais, deux tranches de cheddar, salade, tomate et une montagne de frites comme je n’en ai jamais vues. Alice insiste pour que je teste ses ribs, impossible de quitter Miami sans y avoir goûté. J’accepte, et le premier morceau me surprend. Peut-être est-ce la sauce légèrement sucrée, mais la viande est incroyablement tendre et savoureuse. Tout, du burger aux frites, est excellent. On mange bien ! Une belle italienne sur le parking ! ... Ainsi qu'une allemande... ... Et une américaine qui ne me laisse pas indifférent ! Bien sûr, impossible de finir nos assiettes. Ici, on ne gaspille rien : on demande une "box" pour emporter les restes. Une habitude bien ancrée aux États-Unis, encore rare en France à cette époque. Avant de partir, Alice croise un ami qui vient d’entrer dans le pub. Il me salue et compatit à ma fatigue du voyage. Nous rentrons enfin et filons nous coucher. Il est déjà 8 heures du matin en France. Le décalage horaire me réveille plusieurs fois dans la nuit, mais le sommeil est réparateur. Demain, commencera la vraie découverte de Miami. PS : la qualité des photos s'améliorera à partir de demain, et je me concentrerai sur les américaines plutôt que les allemandes et italiennes :).
  3. Salut à tous, je me lance dans le récit de mes aventures en Floride et en Californie. C'était en 2014.(déjà plus de 10 ans !). On monte dans la Delorean et hop, retour en 2014... Avant de me lancer dans ce nouveau voyage aux États-Unis, je prends le temps de coucher sur papier mes attentes, mes envies et les lieux que j’aimerais découvrir. Comme pour mon premier voyage en Amérique du Nord, qui m’a permis d’explorer le Canada et d’avoir un premier aperçu de Buffalo, cette préparation me permet d’avoir une vision claire de mon itinéraire. Bien sûr, tout ne sera peut-être pas réalisable, mais cela me donne une bonne base pour organiser mon séjour. Miami (Floride) - Du 23 août au 30 août Miami, une ville qui a nourri mon imaginaire à travers des séries comme "Les Experts : Miami", "Dexter" ou encore "Miami Vice". Pourtant, je sais que l’ambiance réelle d’une ville dépasse souvent les images que l’on en a à travers un écran. Pour me préparer, j’ai exploré Google Maps, visionné des vidéos et échangé avec Alice, une amie native de Miami, qui m’a conforté dans l’idée que cette ville serait à la hauteur de mes attentes. Quelques incontournables : - Assister à un match de baseball : Lors de mon passage éclair à Buffalo, je n’avais pas pu voir un match. Cette fois, j’espère pouvoir vivre cette expérience typiquement américaine à Miami. - Explorer le centre-ville : Le downtown de Miami semble être un mélange parfait entre buildings modernes, axes routiers imposants et l’océan en toile de fond. Une aubaine pour la photographie ! - Miami Beach : Entre promenade et jogging sur les plages de sable blanc, ce quartier emblématique fait évidemment partie de mes priorités. - Little Havana : L’immersion dans ce quartier latino m’intrigue, notamment pour son ambiance unique et sa cuisine locale. - Découverte des spécialités culinaires : Parmi les plats typiques, la "Florida Key Lime Pie" est sur ma liste des choses à goûter absolument ! Los Angeles (Californie) - Du 30 août au 5 septembre Deuxième ville des États-Unis en termes de population, Los Angeles fascine autant qu’elle intrigue. Immense et éclatée, elle demande une bonne préparation pour ne pas perdre trop de temps dans les transports. Mes priorités : - Long Beach : Séjourner près de l’océan et profiter de l’atmosphère californienne. - Downtown LA : Flâner entre Union Station et le City Hall, découvrir les lieux de tournage de films cultes. - Hollywood : Impossible de passer à côté du mythique Hollywood Sign, du Walk of Fame ou des studios de Paramount Pictures. - Beverly Hills : Apercevoir les villas luxueuses et découvrir Sunset Boulevard. - Burbank et Pasadena : Deux villes proches de Los Angeles, idéales pour ressentir un autre aspect de la Californie. - Venice Beach : Entre bodybuilders à Muscle Beach et skaters sur le boardwalk, ce lieu mythique mérite le détour. - Assister à un match au Dodger Stadium : Après Miami, pourquoi ne pas vivre une seconde expérience de baseball à Los Angeles ? De Los Angeles à San Francisco via la Route 1 (Du 5 au 7 septembre) Plutôt que de prendre un vol intérieur, je préfère emprunter la mythique Route 1, qui longe la côte Pacifique et offre des panoramas incroyables. Quelques arrêts prévus : - Santa Monica : Voir la jetée et la célèbre fin de la Route 66. - Malibu : Profiter des paysages côtiers et des plages sauvages. - Santa Barbara : Visiter cette charmante ville côtière au style espagnol. - Big Sur : Contempler les falaises abruptes et les plages sauvages. San Francisco (Du 7 au 13 septembre) San Francisco marque la dernière étape de mon voyage. Avec son ambiance unique et son architecture reconnaissable entre mille, elle promet un séjour mémorable. À ne pas manquer : - Le Golden Gate Bridge : Un passage obligé. - Alcatraz : La visite de l’ancienne prison est déjà programmée. - Le Cable Car et Lombard Street : Deux symboles de la ville à découvrir absolument. - Chinatown : Plongée dans l’un des plus vieux quartiers chinois des États-Unis. - La Napa Valley : Une escapade œnologique pour goûter aux célèbres vins californiens. Ce voyage s’annonce comme une véritable aventure, entre découvertes culturelles, paysages grandioses et expériences typiquement américaines. Reste à voir si la réalité sera à la hauteur de mes attentes… Le 23 août 2014, entre Lyon, Paris, FRANCE et Miami, FLORIDA, USA Tout excité, j'arrive aux alentours de 9h00 à l’aéroport de Lyon St Exupéry pour mon premier vol qui m'emmènera à Paris. Après l’enregistrement des bagages, je me rends à la porte de mon vol (la 21E). Il y a beaucoup de monde. À côté de moi, une flopée de jeunes embarque pour Ibiza (environ seulement 10 personnes dont l’âge dépasse les 35 ans). L’embarquement se fait tranquillement. Le personnel de bord, très aimable, nous offre une boisson juste après la phase de décollage. À peine mon café servi, le pilote annonce la descente. Je n’ai eu le temps de lire que 15 pages de mon nouveau livre (« The Black Box » de Michael Connelly). En attendant l’embarquement à Paris CDG (Charles De Gaulle), un Italien d’un certain âge me demande de l’aider à activer Internet sur son téléphone. Je l’aide. Vient finalement l’embarquement en question. Nous sommes nombreux, mais j’arrive à embarquer dans les premiers à ma place située contre le hublot (cette fois-ci, je l’ai bien eue). Dans l’avion, l’équipage nous offre une boisson (une Heineken pour ma part) et nous nous restaurons. Le temps risque d’être long (8h50 de vol annoncées). Je décide donc de regarder un film. L’écran devant nous est doté d’un petit ordinateur nous permettant de sélectionner le film que l’on souhaite parmi toute une collection. On peut également regarder des séries, la caméra embarquée de l’avion (pour voir devant, puis en dessous de l’appareil), diverses informations sur le vol ou simplement suivre notre trajectoire sur une carte. Après avoir regardé le film “Last Vegas”, j’essaie de dormir… En vain. À 32 000 pieds (soit 10 000 mètres), il fait -45 °C. Un peu après, ne parvenant toujours pas à dormir, je regarde le film français “Barbecue” avec Franck Dubosc qui se passe à… Lyon ! Il est plutôt pas mal. Je discute également avec mon voisin de siège qui est un Français établi depuis 15 ans aux US et qui travaille dans la restauration. Après un an à LA (ville qu’il n’a pas aimée, qui ne lui correspondait pas), cela fait deux ans qu’il est à Miami. Le temps de regarder ensuite quelques épisodes, de manger un deuxième petit repas (à cause du décalage), ma montre affiche 22h40. J’ouvre le hublot : un magnifique soleil m’éblouit et me réchauffe un peu le visage. L’atterrissage se fait finalement aux alentours de 23h40, comme initialement prévu. Beaucoup de monde pour valider son visa. Je parviens toutefois à m’en sortir pas trop mal, les douaniers sont plutôt sympas (je leur demande de répéter, leur accent n’est pas toujours facile et ils parlent assez doucement). Je récupère les bagages et c’est parti pour découvrir Miami!!! L'avion qui m'emmène sur le Nouveau Monde Survol de Miami, peu de temps avant l'atterrissage Je suis admis aux USA !
  4. Ce garage et les voitures qui le composent sont magnifiques et la vidéo est top (sur le fond avec un beau discours, bien sur, mais aussi sur la forme dans la manière où la vidéo a été tournée). Bravo en tout cas !
  5. amoniac

    Rockauto

    Oups… la correction automatique… ça la fout mal pour un vegetarien comme moi 🙃
  6. Suite et fin... Retour au Canada : bilan d’un passage express aux États-Unis Mon horloge interne s’adapte-t-elle enfin à l’Amérique du Nord ? Comme hier, je me réveille à 6h50. Aujourd’hui, une longue journée nous attend : neuf heures de bus jusqu’à notre destination finale. Je prévois donc un petit-déjeuner copieux pour tenir jusqu’au soir. Je commence par un verre de jus d’orange, suivi d’un cranberry juice cocktail comme la veille. J’ajoute un mini-muffin, plutôt bon, ainsi que deux petits steaks et une omelette à l’anglaise. Pour couronner le tout, je me laisse tenter par une waffle que je prépare moi-même. Un gaufrier est mis à disposition : il suffit de vaporiser un peu d’huile, de verser la pâte, puis de refermer et retourner l’appareil. Le minuteur s’enclenche automatiquement pour deux minutes. Résultat : une gaufre dorée, croustillante à l’extérieur et moelleuse à l’intérieur. Tout passe bien, sauf le café, qui s’avère être un véritable jus de chaussette, malgré ma tentative avec la version bold. En prévision du voyage, j’embarque aussi deux sachets de flocons d’avoine « House Recipe », au cas où la faim se ferait sentir dans le bus. Départ de Buffalo et passage de la frontière Après avoir bouclé nos bagages, nous nous rendons à la gare routière où nous patientons environ trente minutes. Pendant l’attente, un jeune homme m’interpelle et complimente mon chapeau (acheté à Montréal), avant d’ajouter qu’il est typiquement porté par les woodcops (gardes forestiers). Une remarque amusante qui me fait sourire. Le bus arrive à l’heure et nous nous mettons en route pour Toronto. Après dix minutes de trajet, nous atteignons déjà la frontière. Le contrôle se passe sans encombre : l’agent des douanes canadien est sympathique, et nous pouvons entrer sans difficulté. Je profite du trajet pour fermer les yeux un moment, jusqu’à l’arrêt de Niagara Falls, que je reconnais bien après plusieurs passages dans la région. Je somnole ensuite jusqu’à St. Catharines, avant que la pluie ne commence à tomber, rendant le voyage un peu plus morne et interminable… Escale à Toronto et mésaventure bancaire Nous arrivons à Toronto avec un peu de retard et avons deux heures d’attente avant la correspondance. Je n’ai pas vraiment faim, mais je mange tout de même l’un de mes sachets de flocons d’avoine, histoire d’éviter un creux plus tard. Il me reste moins de 10 dollars canadiens, et je décide donc de retirer de l’argent. Premier essai au distributeur de la gare : hors service. Je finis par en trouver un autre, insère ma carte, entre mon code, et… rien. La machine me rend ma carte, mais aucun billet ne sort. Intrigué, je regarde le reçu : la somme demandée apparaît bien, mais le montant distribué est de 0 dollars. Étrange ! Heureusement, l’argent n’a pas été débité. Une péripétie de plus à ajouter au voyage. Dernier trajet et bilan du séjour aux États-Unis Le bus part finalement avec quelques minutes de retard. Impossible de dormir cette fois, alors je tue le temps en jouant sur mon iPad. Un événement rare pour moi, mais six heures de route permettent ce genre de miracle… À mi-chemin, nous changeons de chauffeur, et je change également d’occupation. Un peu de musique, puis un moment de réflexion pour dresser un bilan mental de cette première expérience aux États-Unis. Ce qui est certain, c’est que nous n’avons pas eu le temps de voir grand-chose à Buffalo. Mais y avait-il tant de choses à voir ? J’en doute. Buffalo a été ma première ville américaine, un moment marquant en soi. Elle s’étend en largeur, occupant une immense superficie, avec quelques buildings éparpillés ici et là, mais rien de comparable aux mégalopoles comme New York ou Chicago. D’un point de vue humain, si nous avons croisé quelques individus un peu étranges, la majorité des gens ont été chaleureux et serviables. Je pense notamment à l’homme de la réception de notre hôtel et à notre serveuse du T.G.I. Friday’s, qui s’est rappelée de notre commande d’un jour sur l’autre. En termes de shopping, les vêtements de marque sont incontestablement moins chers qu’en France, ce qui a été un bon point. De plus, je suis ravi d’avoir pu voir le Coca-Cola Field, bien que j’aurais aimé assister à un match. Enfin, je garde un souvenir particulier des voitures américaines. Les V8 rugissants, les pickup massifs, et les muscle cars dans leur environnement naturel… Même après deux semaines au Canada, où l’on croise déjà pas mal de véhicules de ce genre, cela reste un vrai plaisir pour l’amateur que je suis. Un au revoir, mais pas un adieu Ce passage express aux États-Unis n’aura duré que deux jours, mais il m’a permis de goûter à l’Amérique et de me faire une première idée. Buffalo n’est peut-être pas la ville la plus excitante, mais elle a son charme discret et quelques aspects intéressants. La prochaine fois, je choisirai sans doute une destination plus animée, mais une chose est sûre : je reviendrai aux États-Unis ! J'enchainerais sur d'autres fils de discussion pour les prochains voyages : 2014, 2019, 2024) qui seront bien plus fournis en posts et en photos ;). Un petit aperçu ci-dessous (si certains arrivent à deviner dans quelle ville de la côte Est elle a été prise...) :
  7. amoniac

    Rockauto

    Oh, la belle Mustang II tout en haut à gauche ! Vous avez de bien belles collections. De mon coté, beaucoup moins de magrets (ça fait une éternité que je n'ai pas commandé sur Rockauto - ça date de quand j'avais encore ma propre Mustang II -, les pièces de Mustang I étant présentes en France). Voici mes quelques magrets collectés entre 2015 et 2017 :
  8. amoniac

    Ma Crevette

    Elle est vraiment très belle, bravo ! 😍 Sur la dernière photo, les pneus arrière me paraissent énormes, ils dépassent bien des ailes, non ? Ou effet d'optique ?
  9. Merci Sébastien 👍. La photo du Shea's Buffalo m'a aussi tout de suite fait pensé à Chicago :). Et voici la suite : Deuxième journée à Buffalo : entre détente et découvertes Après une bonne nuit, je me réveille à 6h50. Le soleil est déjà levé, et ses rayons filtrent à travers les rideaux blancs de ma grande fenêtre. L’ambiance est paisible, parfaite pour commencer la journée en douceur. Vers 8h, nous descendons prendre le petit-déjeuner, et nous ne sommes pas déçus. C’est un véritable buffet, avec de quoi satisfaire tous les goûts : des saucisses, des bagels, des céréales américaines ultra colorées, des fruits secs… Je me prépare une assiette bien garnie : une omelette, un verre de cranberry juice cocktail, un bagel au beurre de cacahuète, et un bol de Froot Loops. Ces céréales multicolores sont à la fois trop sèches et beaucoup trop sucrées, mais ça fait partie de l’expérience américaine. Le tout passe bien avec un café bold, comme j’aime. Encore une Dodge Charger ! En attendant le bus, on observe les voitures passer... Plutôt rare comme panneau aux USA à l'époque, non ? Virée shopping et fausse bonne affaire Buffalo n’est pas la ville la plus animée des États-Unis, mais elle a un avantage : les prix des vêtements et des articles de marque y sont bien plus bas qu’en Europe. Un centre commercial se trouve à une quarantaine de minutes de l’hôtel. Nous décidons d’y aller ce matin. Avant de partir, je demande quelques indications à la réception. L’homme en poste a lui aussi du mal avec mon accent, mais j’arrive à me faire comprendre. Il m’indique même un raccourci que Google Maps ignore. Résultat, nous atteignons le centre commercial en seulement 30 minutes. Sur place, je profite de l’occasion pour faire quelques achats. En passant devant un Apple Store, je m’arrête net. L’iPhone 5 (lol) est en vitrine, et son prix m’interpelle : 299 dollars seulement ! L’affaire me semble trop belle pour être vraie. Tout excité, je demande à Dorian de vérifier les détails. En regardant de plus près, on comprend rapidement que ce prix est réservé aux abonnements avec contrat. Tant pis, c’était trop beau ! Pause déjeuner légère et détour imprévu En rentrant à l’hôtel, nous n’avons pas vraiment faim. Plutôt que de prendre un gros repas, nous décidons de commander une Bistro Box, un plateau léger avec du fromage et des fruits. Direction Starbucks, mais la serveuse nous informe qu’ils n’en vendent pas ici. Les Américains n’aimeraient-ils pas les fruits ? Finalement, nous optons pour des mini-sandwiches au bacon et aux œufs. C’est simple, efficace et pas trop cher. En retournant à l’hôtel, je réalise soudain que j’ai oublié ma sacoche au Starbucks. Mon iPad et mon appareil photo sont à l’intérieur ! Demi-tour immédiat. Heureusement, tout est encore là. Ouf ! Sur le chemin du retour, nous croisons la serveuse du T.G.I. Friday’s de la veille. Un rapide échange de "Hi!", et nous continuons notre route. Découverte du Coca-Cola Field Vers 16h, je décide d’explorer un peu plus Buffalo et me dirige vers le Coca-Cola Field, le stade de baseball de la ville. Après deux kilomètres de marche, j’aperçois enfin le logo de Coca-Cola et découvre l’enceinte du stade de l’extérieur. Devant, une statue intrigante représente un homme en costume en pleine action de jeu. Je fais le tour du stade, mais toutes les portes sont cadenassées, et la boutique officielle a fermé à 15h. Un peu déçu, je m’apprête à repartir, quand j’aperçois un grand bâtiment moderne non loin de là. Il est beau ce stade ! Il arbore un célèbre logo qui évoque immédiatement les USA dans tous les pays du monde... Malheureusement, c'est fermé, je n'irais pas plus loin J'ai de la chance, le temps est magnifique ! Fermé, dommage j'aurais bien acheté un ticket pour aller voir un match... Encore le célèbre logo ! Un peu de lecture Hommage Exploration du First Niagara Center Le First Niagara Center, que je prends d’abord pour un centre commercial ou un complexe de cinémas, m’intrigue. Il n’y a personne aux alentours, mais les portes sont ouvertes. J’entre. À l’intérieur, plusieurs vitrines exposent des objets des Buffalo Bisons (baseball), des Buffalo Sabres (hockey sur glace) et des Buffalo Bandits (crosse). Je me dirige vers une grande boutique, où une vendeuse est en train de nettoyer les vitres. Curieux, je lui demande qui sont les Sabres. Elle m’explique gentiment qu’il s’agit de l’équipe de hockey locale… avant d’ajouter que le magasin est fermé. Oups ! Je m’excuse immédiatement, ce à quoi elle répond avec un sourire : "Don’t worry!". Je ressors en riant intérieurement. Buffalo est décidément une ville calme… voire trop calme. À 15h un vendredi, tout semble déjà éteint ! Dernier dîner aux États-Unis Aux alentours de 19h, nous retournons au T.G.I. Friday’s, où nous avons mangé la veille. La même serveuse, toujours souriante, s’occupe de nous et se souvient même de la cuisson de ma viande d’hier. Je suis impressionné. Je commande un "Steakhouse Bleu Cheese Burger", garni d’oignons fumés, bacon, fromage bleu et beurre maison, accompagné d’une bière Sam Adams "seasonal". L’association des saveurs est juste parfaite. En dessert, je craque pour le "Brownie Obsession" : un brownie chaud nappé de chocolat fondu, de caramel et de noix de pécan, surmonté d’une boule de glace à la vanille. Après deux bouchées, je suis déjà rassasié, mais impossible de m’arrêter. Je le finis jusqu’à la dernière miette. Voici mon Steakhouse Bleu Cheese Burger Et un dessert tout aussi généreux, le Brownie Obsession ! Fin de l’escapade aux USA C’est déjà notre dernière soirée aux États-Unis. Buffalo a été une expérience intéressante, même si la ville manque clairement d’animation. La prochaine fois, je choisirai une ville un peu plus dynamique… mais je reviendrai ! Mon prochain et (déjà) dernier post s’intéressera au retour vers le Canada et à un petit bilan sur cette première fois aux USA !
  10. Merci TLK ;). Aller, la suite... Cap sur Buffalo : premier passage de la frontière américaine Le jour du départ pour Buffalo, nous devons libérer notre chambre à Toronto avant 11h. À 11h15, valises prêtes, nous quittons l’hôtel et faisons un détour par le Starbucks à côté de la gare, un endroit où nous avons déjà passé du temps à notre arrivée. Un panini et un café plus tard, nous patientons jusqu’à 14h avant de rejoindre la gare routière. Notre bus pour Buffalo part finalement vers 14h45. Dès le début du trajet, le chauffeur nous distribue un formulaire vert à remplir pour la douane américaine, car nous n’avons pas de visa. Le trajet s’annonce long, et Toronto semble vouloir nous garder un peu plus longtemps : embouteillages, ralentissements, un accident sur la voie opposée… Jusqu’au bout, la ville nous offre son lot d’imprévus. À l’approche de la frontière, un léger stress monte. Dorian a lu des témoignages peu engageants sur les contrôles douaniers (qu'il a bien sûr eu la bonne idée de me partager...) : fouilles complètes des bagages, passagers forcés de descendre du bus, ambiance froide… Mais la réalité est bien différente. Ouf ! Le bus s’arrête, les valises sont sorties, et nous sommes invités à descendre un par un pour passer le contrôle. Un officier nous demande nos passeports et prend nos empreintes digitales. L’ambiance est étonnamment détendue : il plaisante même avec nous sur son niveau de français, et je me surprends à répondre spontanément "Oh yes ?!". Il rit en racontant à son collègue que j’approuve son manque de compétence linguistique. Ça détend tout de suite l’atmosphère. Après quelques questions sur notre séjour, nous payons les six dollars requis, puis nos valises sont scannées et reniflées par un chien. Le verdict tombe : nous pouvons entrer aux États-Unis ! 🤩 Nous remontons dans le bus avec un mélange de soulagement et d’excitation : ça y est, je suis enfin sur le sol américain. Premiers pas aux États-Unis : découverte de Buffalo Le bus nous dépose au "Buffalo Terminal", un nom qui sonne grandiose mais qui, en réalité, désigne un simple arrêt de bus. Le contraste avec Toronto est frappant : moins de gratte-ciels, une ambiance plus calme et, surtout, une architecture bien différente. À peine sortis, sur le chemin de notre hôtel situé à 800 mètres de là, je croise une sublime Mustang noire garée dans la rue. La voiture parfaite. Cet instant suffit à me convaincre : Buffalo va me plaire ! 👍 L’hôtel, lui, est une belle surprise. Notre chambre ? Une véritable suite. En franchissant la porte, nous découvrons un mini-bar avec micro-ondes, un canapé dépliable accompagné d’une table, et un grand téléviseur LCD de 107 cm avec lecteur DVD. Plus loin, un fauteuil et un bureau font face à une grande fenêtre donnant sur la ville. Et ce n’est que la première pièce. À droite, une porte mène à une salle de bain équipée d’une baignoire, et derrière elle, la chambre principale. Un immense lit moelleux, une commode avec téléviseur, une autre entrée vers la salle de bain… Luxe absolu. Dorian, qui vante cette “King Suite” depuis des jours, me demande s’il peut avoir la chambre principale. Dans un rare élan de générosité, j’accepte et me contente du salon. En acceptant, j'ai fait sa soirée, c'est certain ! Un bâtiment qui semble important, en tout cas intéressant en matière d'architecture, mais je ne me souviens pas de son nom ou de son utilité Shea's Buffalo, sur Main Street, une rue où tramways et voitures co existent (en travaux sur ma photo) Premiers instants à Buffalo : balade et premier repas Une fois installés, il est temps de découvrir Buffalo. Premier objectif : retirer des dollars US. Dans les rues, de nombreux pubs, quelques Subway, Starbucks et même des Tim Hortons (chaîne que nous avons découvert au Canada quelques jours plus tôt), mais nous avons envie de quelque chose de plus... authentique ! Notre choix se porte sur le restaurant en bas de l’hôtel : TGI Friday’s. La carte est alléchante, et je me laisse tenter par une bière blanche du Colorado, la Blue Moon Belgian White, suivie d’un Spicy Craft Beer-Cheese Burger. Le mélange de sauce au fromage à la bière, de jalapeños frais et panés, de mayonnaise chipotle et de guacamole est une véritable claque gustative. Le meilleur burger que j’ai jamais mangé (en 2013, tout du moins) ! Le dessert achève de me conquérir : un Tennessee Whiskey Cake, un gâteau chaud aux noix de pécan accompagné de glace vanille et nappé d’une sauce au Jack Daniel’s. Une merveille. Cerise sur le gâteau (si j'ose dire), notre serveuse est adorable. Nous discutons un peu avec elle, même si mon accent semble la faire sourire. Retour à l’hôtel, rassasié et fatigué par cette longue journée. En zappant sur la grande télé, je tombe sur Hell’s Kitchen (Cauchemar en cuisine) avec Gordon Ramsay. Après un bon repas américain, quoi de mieux qu’un show culinaire pour boucler la soirée ? Le TGI Friday, une découverte intéressante pour moi (la prochaine fois que j'en verrais un, ce sera à... Budapest !) Une Blue Moon bien fraiche servie avec un verre... glacé ! Et ce dessert ! Qu'est-ce que j'aimerais le goûter à nouveau ! Buffalo, une ville au riche passé Buffalo a longtemps été une ville industrielle avant de se reconvertir en centre culturel et universitaire. Ford y est toujours présenté, témoin de cette histoire automobile qui nous fascine. Mais surtout, la ville a été la première des États-Unis à utiliser l’énergie hydraulique à grande échelle, grâce aux chutes du Niagara. Une première journée réussie, placée sous le signe de la découverte et de la gourmandise. Demain, il sera temps d’explorer Buffalo plus en profondeur. Pas de belles américaines sur les photos du jour, on rattrapera le coup dans le prochain post ;).
  11. Depuis quelques jours, je prends plaisir à lire les récits de voyages aux États-Unis partagés par les membres du forum. Chacun d’eux apporte un regard unique sur ce vaste pays, et je me suis dit qu’il était temps d’apporter ma pierre à l’édifice. À ce jour, j’ai eu la chance d’y mettre les pieds à quatre reprises et, sans surprise, je compte bien récidiver d’ici trois ou quatre ans au maximum ! Ce premier voyage aux États-Unis, je l’ai réalisé avec Dorian, un ami proche de longue date. Pourtant, à l’origine, notre itinéraire était avant tout centré sur le Canada, avec un parcours qui nous a mené de Montréal à Québec, puis de Toronto aux chutes du Niagara. Mais en préparant ce périple, une idée nous trottait dans la tête : nous allions nous retrouver à seulement quelques minutes des États-Unis… sans y passer ? Avant de partir, j’avais pris le temps de noter mes attentes pour ce voyage, et voici ce que j’écrivais à propos des USA et plus particulièrement de la ville de Buffalo où nous avons finalement vécu nos premiers moments états-uniens : C’est ainsi que, fin juillet 2013, après plus de dix jours passés à explorer le Canada, nous avons franchi la frontière pour un séjour express de deux jours aux États-Unis. Une parenthèse courte, mais marquante, qui reste un excellent souvenir. Dans les prochains messages, je vous raconterai en détail cette première expérience américaine, de l’entrée aux États-Unis à notre visite de Buffalo, avant de conclure sur mon ressenti global. En attendant, je vous mets quelques photos prises au Canada qui montrent, notamment, des voitures bien américaines que l'on n'avait pas forcément l'habitude de voir en France. Montréal : Un des premiers lieux visités outre-Atlantique Le Financial District, au fond, mêlant bâtiments récents et plus anciens dans une architecte tout à fait singulière La Tour de l'Horloge et le pont Jacques Cartier en arrière plan La célèbre brasserie Molson à Montréal, prise depuis le parc Jean Drapeau Une photo de bien mauvaise qualité mais que j'aime beaucoup Molson, encore une fois Québec : Quand j'ai vu cette voiture, je crois me souvenir avoir dit : un jour, j'aurais une Mustang ! (je ne me doutais pas encore que je pencherais finalement pour une ancienne...) Impossible de quitter Québec sans gouter une poutine de chez Ashton ! Toronto : On se croirait à New York, non ? Les bus nord américains n'ont rien à voir avec les européens ! Encore une photo que j'aime beaucoup, malgré sa qualité... discutable Un hot dog dans les rues de Toronto, acheté pour 2 dollars (je n'étais pas encore végétarien à l'époque :)) Dans les rues de Toronto... Dans les rues de Toronto... (suite) En Europe, on aurait mis un rond point pour un carrefour comme celui-ci. Pourtant, ça fonctionne si bien quand les règles sont respectées (bon, ici on a la chance d'avoir des feux tricolores) Niagara Falls : Une très belle Dodge Charger, plutôt commune au Canada (la police montréalaise patrouille avec)
  12. amoniac

    Ford Mustang 1966

    Merci Arthur ! Effectivement, voiture très sympa après des années de galère... Mais au moins, je commence à la connaitre maintenant 😅. Tu n'es effectivement pas très loin, si tu passes dans le coin, fais moi signe, je suis au nord de Lyon, près de Villefranche / Saone. Ça fait quelques mois que je n'ai pas fait de sortie en club (MCF / MPF / MustangV8) mais j'essaie d'en faire une ou deux chaque année. Merci à toi pour le feedback ! Ah oui, c'est bien probable ! Je n'ai pas fait attention si un post existait sur le forum pour recenser un peu ceux qui y vont à l'avance pour prendre contact et se retrouver une fois sur place. BTW, l'année dernière, je me suis retrouvé nez à nez avec un de mes voisins qui possède de très belles américaines (Malibu, Hummer, Torino, Corvette, quelques vans GMC, j'en passe et des meilleurs). Je ne savais même pas qu'il y allait (j'aurais du m'en douter au vue de son garage...).
  13. Merci pour ce reportage photo passionnant et les commentaires qui donnent un peu de contexte. On s’y croirait presque ! Reste que ça fait très envie d’aller visiter ce musée de nos propres yeux 🤩
  14. amoniac

    Ford Mustang 1966

    Salut à tous, Ça fait un moment que je n’ai pas posté ici, alors voici quelques nouvelles de ma Mustang et de mes sorties auto de ces derniers mois. Le 19 avril dernier, je suis parti de la région lyonnaise en convoi Mustang direction Poitiers pour les 60 ans du modèle. Ma voiture a parfaitement roulé tout du long, ce qui n’a pas été le cas de toutes celles du convoi… (je vous laisse quelques articles pour les curieux : ici). Une fois sur place, on a eu droit à une belle exclusivité avec la Dark Horse (article ici), j’ai aussi pu remonter dans une Mustang II et tester la Mach-E (lien). Un super week-end, et mon coupé Mustang s’est très bien comporté ! Deux semaines plus tard, je suis reparti en solo aux Classic Days (mon retour ici). Tout s’est bien passé, mais le retour a été… humide. Beaucoup (trop) de flotte, et forcément, ça ne met pas toujours en confiance sur la route... Cet été, je suis resté plus local, mais j’en ai profité pour sortir régulièrement et faire pas mal de photos. Côté mécanique, quelques galères ces derniers temps : - Fuite d’huile que j’ai du mal à localiser, probablement au niveau du carter d’huile. - Infiltration d’eau sous le capot (constaté au retour des Classic Days) : quand il pleut trop (ou même après un lavage), l’eau semble venir au niveau de la cosse ( - ) de la batterie. Ça m’inquiète un peu… Je me demande si ça ne vient pas du capot lui-même : quand je le ferme, il y a un espace entre le haut du capot (côté pare-brise) et la baie moteur. En appuyant fort, ça semble mieux se fermer… À tester. Ah, et pour ceux qui m’avaient fait des remarques sur la hauteur de caisse, c’est réglé depuis un bon moment 😉 Je vous laisse quelques photos de ces derniers mois !
  15. amoniac

    Ford Mustang 1966

    Petite sortie printanière "coudàlaportière" ce weekend !
  16. amoniac

    Ford Mustang 1966

    Oui, c’est effectivement ce que j’ai sur la mienne.
  17. amoniac

    Ford Mustang 1966

    Merci pour l'explication détaillée @Phil. Je me sens déjà un peu moins bête en ce début de semaine 😇 Intéressant 👍. C'est ce que j'avais commencé à faire avec mon ancienne batterie (pour moi, c'était la meilleure façon de procéder). Depuis mes récents problèmes de batterie, j'ai eu un gros doute (comme le chargeur est maintenant HS et la batterie aussi, remplacée sous garantie).
  18. amoniac

    Ford Mustang 1966

    Merci pour ton retour Patrick. On m'avait indiqué une fois qu'il est préférable de déconnecter le "-" en premier quand on retire la batterie, et de rebrancher le "+" en premier. Je suis une bille en électricité, je ne sais pas qu'elle est l'incidence potentielle de faire le contraire ?
  19. amoniac

    Ford Mustang 1966

    C'est aussi ce que je fais maintenant 👍
  20. amoniac

    Ford Mustang 1966

    Aujourd'hui, à défaut d'aller rouler, petit nettoyage du compartiment moteur. On aurait pas dit, mais les lingettes Vulcanet sont ressorties noires ! J'en ai aussi profiter pour déballer un colis récemment reçu : mon chargeur de batterie Black & Decker (modèle BXAE00022). Celui que j'avais avant est en rupture de stock et ne fonctionnait plus (je ne sais toujours pas ce qu'il s'est passé, mais ma batterie était HS et le chargeur également...) D'ailleurs, je serais intéressé d'avoir vos retours : sur vos anciennes, vous les branchez dès lors qu'elles sont dans le garage ou non ?
  21. amoniac

    Ford Mustang 1966

    C'est vrai que je m'y était intéressé à un moment mais même si elle n'est plus d'origine, elle en reste assez proche (j'y tenais, et je ne veux pas trop la dénaturer davantage). Peut-être avec une autre américaine, un peu plus tard... à voir. Pour info, dernièrement, je consommais entre 12 et 13 litres aux 100 km, ce qui reste très raisonnable pour une américaine des 60s ! 😇
  22. amoniac

    Ford Mustang 1966

    Rien de bien atypique, c'est un V8 302ci refait à neuf trouvé sur Summit Racing dont le bloc date des années 80.
  23. amoniac

    Ford Mustang 1966

    Merci @pat060, dommage que ce soit si loin pour toi, ç'aurait été l'occasion d'enfin se rencontrer de visu :). @The Lion King oui, tu as tout à fait raison. Mon moteur n'étant pas d'origine, quand il a fallut trouver un carburateur, je n'ai pas ressenti le besoin d'avoir un starter automatique. J'avais acheté ce qu'il fallait pour ajouter un starter manuel... Mais un starter automatique sera encore mieux : pas de risque d'oublier de le désactiver une fois le moteur chaud comme ça :).
  24. Je découvre ce topic et je dois dire que j'aime beaucoup : sa face avant, son profil, sa couleur, le son de son moteur (et de ses mufflers), bref tout sur cette auto ! Très bel exemplaire @65283impala ! Et la taille de la malle arrière, c'est impressionnant ! Pareil, il y a de la place sous le capot !! Merci aussi de partager ces petites vidéos de la Belle Province !! 🥰
  25. Il est magnifique ce "camion", @alex67120 !! J'adore. Un gros coup de coeur pour la dernière photo de ton premise message ! Très beau pickup et très belles photos également @buxois84