Ford Mustang Ghia 1980

[Comet72]

Merci poto.

 

En fait le dilemme que j'avais était simple. J'ai le choix entre prendre la situation à bras-le-corps et liquider une partie de mes caisses maintenant au profit des autres, même si ça fait chier on en meurt pas...et le peu que je garde, je suis assuré de pouvoir les conserver tout en remboursant tout ce que je dois rembourser en annexe l'année prochaine pour solder mes divers retards que j'accumule depuis un an.

Ou alors l'autre choix était de tout conserver jusqu'à la fin de l'année, fuir mes responsabilités, mettre les pieds au mur et garder mes 8-10 bagnoles, tout en continuant à couler un peu plus mes finances en sachant qu'à la fin de l'année je risquais de me faire saisir l'intégralité de mes bagnoles ou de devoir toutes les vendre sans exception et dans la précipitation...c'est clair, si j'avais choisi cette option à la fin de l'année j'étais bon pour tout liquider sans avoir le choix.

 

Bref, sans vouloir m'étaler là-dessus je pense que j'ai bien fait de me pousser au cul et de choisir cette solution, c'est pas encore définitif mais je pense que mes cinq dernières bagnoles, je vais pouvoir les garder, sans faire aucune concession et en relançant les travaux à gros coups de pognon.

En ce moment je suis encore dans l'optique vente, je suis encore en plein dans les annonces et les visites parce qu'il me reste deux choses à faire: Vendre la Capri et remonter, passer au CT et livrer la LeBaron.

 

Je suis déterminé, j'irais au bout de tout ce que j'ai dit et je retomberais à 5 bagnoles, en avril dernier délai mon garage sera vide. Mais alors fin avril, quand j'aurais vidé complètement le garage et que j'aurais pu mettre mes cinq caisses définitives dans le garage au chaud, promis, je me taille en Cherokee à Lugano une semaine me vider la tête et faire la teuf avec mon père et mes potes, quitte à griller une partie du fric des ventes j'en ai rien à battre...après autant d'efforts je l'aurais mérité.

 

Même si c'est pas encore complètement terminé je commence à voir le bout du tunnel, et putain, je savoure ce moment.